Le vivre-ensemble dans le Groupe SOS, c’est au quotidien. De plus en plus, on se pose la question de la mixité de nos structures. En fait, le vivre-ensemble, c’est de considérer que d’abord il n’y a pas obligatoirement de clivages entre nos publics. On peut, sur un même lieu, permettre que des rencontres soient possibles et il se passe des choses hyper riches. Le vivre ensemble, c’est aussi le fait que les équipes des différents secteurs du Groupe bossent ensemble.
C’est le sujet de la transversalité. On est plus intelligent à plusieurs que tout seul, et c’est ce qui permet d’avoir d’autres idées et de pouvoir continuer à être innovant et agile. Donc le vivre ensemble au Groupe, je pense que c’est à la fois dans nos établissements au quotidien, mais c’est aussi ce qu’on porte en terme de transversalité.
Les équipes de Groupe SOS Solidarités, elles sont hyper mobilisées autour de ce qui fait l’ADN du Groupe SOS. C’est à dire qu’elles vont aussi considérer qu’il n’y a rien d’impossible. Et le sujet du militantisme peut se poser. Sur les premières affiches du Groupe, on parlait de professionnels militants il y a une quinzaine d’années. Je trouve que c’est encore très vrai ! Et je remercie les équipes, parce que sur un certain nombre de sujets, peut-être qu’il faut continuer à être très militant, même quand on est professionnel. Surtout quand on est professionnel. »